Elle a répété qu'elle s'opposait à ce qu'elle qualifie de "petits arrangements avant le vote, dans le dos des électeurs", tout en expliquant qu'"entre les deux tours la majorité présidentielle se construira avec tous ceux qui viendront autour d'elle".
"L'élection présidentielle n'est pas une combinaison d'alliances entre des candidats ou des formations politiques" mais"un lien qui se tisse entre une personne et le peuple français", avait-elle indiqué, en laissant la porte ouverte pour le second tour : "Au soir du premier tour, nul ne sera propriétaire des ses électeurs et ne pourra en disposer à sa guise. Et c'est avec toutes celles et tous ceux qui se reconnaîtront dans la France présidente que se relèvera le pays", expliquait-elle.
Sans citer de noms, Ségolène Royal a affirmé qu'un certain nombre de personnalités au sein du PS n'ont jamais accepté sa désignation par les militants. "Cela ne m'aide pas. Mais je me dis de façon optimiste que c'est le prix de ma liberté et que finalement cela prouve que j'ai beaucoup de résistance, de constance", a-t-elle enfin estimé.
Prouvons aux derniers imbéciles du PS (il n'y en as pas tant que ça mais ils nous prenent la tête) que les français sont bien plus intelligents que ça. La droite, dure ou molle, n'a rien à voire avec la gauche. Aucune alliance n'est possible avec Bayrou, même si, au deuxième tours, il est évident que Sarko ne doit pas passer, pour le bien de la France!