Contrairement à toutes les prévisions des instituts de sondages (une prévision raté sur 4 élection, c'est pas si mal), le "tsunamis" bleu n'est pas arrivé. La gauche à même réalisé un meilleur score qu'en 2002. Mais est-ce une victoire pour autant?
Il est sur que nous avons tous (à gauche) envie de nous réjouir de l'élection d'un grand nombre de nos camarade. Si l'avance prise par la droite au soir du premier tour était complètement impossible à rattrapé (ils avaient 100 député d'avance), un certain pluralisme à survécut à cette élection.
On ne peut que se réjouir de l'élection d'un certains nombre de nos camarades (bravo notamment à André Vezinhet et Kléber Mesquida dans l'Hérault et a William Dumas dans le Gard) mais un grand nombre d'entre eux on payé la faiblesse de la gauche (je pense au camarade de gauche, le PCF François Liberti ou à Michel Guibal et Christine Lazerges par exemple).
On peut aussi se réjouir de l'éviction de nombreux parlementaire UMP sans grande valeur comme Alain Juppé en Gironde. D'ailleurs je trouve cette règle de M. Fillion de faire élire les ministre pour valider leurs place dans le gouvernement pour le moins surprenante. En quoi une élection locale peut préjuger de l'acceptation nationale du candidat? Enfin je suis ravis qu'un homme qui à autant de casserole qu'Alain Juppé soit une fois de plus évincé de la vie politique.
Le PS à fait dans de nombreuses grandes ville un score de bonne augure pour les prochaines municipale. Mais je pense que les dynamiques sont très souvent différente. Je vois déjà Jacques Domergue rêver de prendre la mairie de Montpellier. Il va devoir se lever tôt! Car nous serons tous là pour défendre le bilan d'Hélène Mandroux qui à fait un excellent travail depuis le départ de Georges Frèche pour la région.
Mais malgré tout j'ai peur que cette
- Premièrement nous sommes obligé de constater que nous avons perdus. La droite va gouverné le pays pendant ces 5 prochaines années et elle va appliqué le programme destructeur de Sarkozy. Quelques soit notre nombre de député (227 sur 577 soit 39%), la gauche ne pourra rien empêcher du tout à l'assemblé nationale.
- Deuxièmement il ne faut pas croire que nous avons gagné des électeurs sur ce deuxième tours. En réalité, c'est la droite qui les a perdus. Les français on voté plus a gauche pour voter contre la TVA "anti-social" (à juste titre d'ailleurs). Ils n'ont pas voté en adhésion à notre programme.
- Nous allons donc devoir plus que jamais entamer cette si fameuse "refondation". Nous allons devoir (encore une fois) partir à la recherche de l'électorat populaire. Et nous allons devoir le trouver et le convaincre que si Sarkozy à réussit à les tromper, nous ne ferons pas la même erreur. Enfin je développerais mes idées dans un autre article.
Ces derniers résultats sont par contre les meilleurs que l'on pouvait espéré après le deuxième tour des présidentielle. C'est une victoire relative mais à la-quel on ne doit pas donner trop d'importance.